Avec la hausse des températures causée par les changements climatiques, il est important de comprendre comment les tortues d’eau douce survivent à l’hiver.
Faut-il donner des céréales, comme du blé ou du riz, à manger aux chiens ? Leur présence dans les croquettes provoquerait des désagréments gastriques. Que dit la science ?
La vision du monde de votre fidèle compagnon est différente de la vôtre, mais il est faux de croire qu’ils ne voient que le noir, le blanc et les nuances de gris.
Les traitements des morsures de serpent ont beaucoup évolué depuis deux siècles. Si les plus anciens nous semblent étranges aujourd’hui, ils avaient un sens dans le contexte historique de l’époque.
Plus de 500 interactions entre orques et bateaux ont été recensées depuis 2020, certaines se sont soldées par un navire coulé. Que peut-on dire de ces comportements ?
Entre des papillons ne vivant que quelques jours et des méduses immortelles, l’espérance de vie dans le vivant est très variable. Et nous dans tout ça ?
Traditionnellement, les philosophes ont séparé l’être humain de l’animal par notre capacité à inventer. Et pourtant ils inventent ! L’occasion de repenser notre vision de l’animalité.
La masse corporelle des animaux a une énorme influence sur leur biologie ; elle participe notamment à la production de chaleur corporelle et à l’adaptation à la température extérieure.
Chez l’humain, la longueur des télomères, structures à l’extrémité de l’ADN diminue avec le temps, causant un vieillissement, alors que chez le protée, elle augmente. La clé de sa longévité ?
Dans le désert, le manque d’eau est le principal problème, mais certains animaux ont développé des capacités extraordinaires pour survivre dans les régions arides.
Il ne viendrait à l’idée de personne de manger un animal en voie de disparition comme le lynx ibérique. Alors pourquoi mangeons-nous encore des anguilles ?
Les humains sont très mauvais au sprint, aucune chance face à un guépard, mais plutôt bons en endurance. Certains sont même capables de battre les chevaux à la course sur longue distance.
Les virus qui hantent les forêts tropicales humides peuvent être à l’origine de graves maladies émergentes. Pour mieux les surveiller, les scientifiques pourraient bientôt compter sur les fourmis.
Jeune chercheur ATER terminant une thèse en neurosciences, au sein du Laboratoire de Neurosciences Cognitives, de l’Institut de Neurosciences des Systèmes et de l’Institut des Sciences du Mouvement, Aix-Marseille Université (AMU)
Professeur de psychologie sociale, membre honoraire de l’Institut universitaire de France (IUF), directeur de la MSH Alpes (CNRS/UGA), Université Grenoble Alpes (UGA)
Directeur de recherche CNRS, systématicien, directeur de l’Institut de systématique, évolution, biodiversité (ISYEB), Centre national de la recherche scientifique (CNRS)
Directrice, Direction de la Recherche et des Etudes Doctorales (DRED), Université Paris Nanterre, Université Paris Nanterre – Université Paris Lumières