Inria est l’institut national de recherche en sciences et technologies du numérique. La recherche de rang mondial, l’innovation technologique et le risque entrepreneurial constituent son ADN. Au sein de 200 équipes-projets, pour la plupart communes avec les grandes universités de recherche, plus de 3 500 chercheurs et ingénieurs y explorent des voies nouvelles, souvent dans l’interdisciplinarité et en collaboration avec des partenaires industriels pour répondre à des défis ambitieux. Institut technologique, Inria soutient la diversité des voies de l’innovation : de l’édition open source de logiciels à la création de startups technologiques (Deeptech).
Que les émissions de CO₂ ne suivent plus l’évolution du PIB, pourquoi pas ? Les conclusions en la matière varient néanmoins du tout au tout selon la façon dont on appréhende cet indicateur économique.
À l'hôpital, des projets sont menés pour utiliser l'IA afin d'aider le médecin à poser ses diagnostics et décider des traitements. Mais le degré d'incertitude des prédictions doit être pris en compte.
Le confort du vote depuis son canapé se fait au prix de la sécurité du scrutin – de quoi limiter l’utilisation du vote électronique pour les élections à fort enjeu.
Séismes et glissements de terrain sous-marins peuvent déclencher des tsunamis. Pour alerter les populations plus rapidement, de nouvelles méthodologies sont à l’étude.
Besoin en investissement, en travailleurs, conséquences sur la croissance et l’inflation : une équipe pluridisciplinaire a modélisé les conséquences sur l’économie réelle de la transition énergétique.
Les scientifiques mettent en place de nouvelles techniques d’analyse de combats pour aider les boxeurs et les entraîneurs à améliorer leurs performances.
Les déchets qui s’accumulent dans la capitale avec la grève des éboueurs permettent de se rendre compte des quantités que l’on jette. Ils peuvent aussi ouvrir la porte à plus d’incivilités à l’avenir.
De nombreux serveurs sont sous-exploités dans les data centers, dont la facture énergétique reste colossale. Les leviers pour limiter le gâchis de ressources matérielles et logicielles.
Les ordinateurs les plus puissants du monde permettent de s’attaquer à des problèmes très complexes, comme le fonctionnement du cœur… et ses dysfonctionnements.
Les « modèles de langage » comme ChatGPT raisonnent encore très mal, mais ce n'est pas le cas d'autres systèmes d'IA. Ils seront peut-être compatibles à l'avenir.
Permettre de voir concrètement les conséquences d’actions diffuses est un bon moyen d’éveiller les consciences, meilleur en tout cas que des chiffres ou des graphiques.
La cryptographie imprègne nos vies quotidiennes et assure des échanges sûrs sur Internet… mais elle pourrait être remise en jeu par les ordinateurs quantiques.
L’intelligence artificielle de Google défraye la chronique en prédisant des structures de protéines, mais il manque des informations majeures pour comprendre les processus biologiques.
Le risque de réveil en cours d’opération est faible, mais réel. Une interface cerveau-ordinateur innovante pourrait améliorer le suivi de l’anesthésie afin d’éviter cette expérience angoissante.